vendredi 8 avril 2011

Le vendredi

Il y a une certaine poésie dans le vendredi. Je n'ai jamais vraiment mis le doigt sur sa raison. Le vendredi pour moi, c'est plein de promesses. Le vendredi, plus jeune, c'était la fin de la torture, l'école se terminait, je retournais à la maison, où "personne ne me criait de bétises", du moins pas des bétises dont je n'avais pas l'habitude.

Mais le vendredi, c'est la fin d'une semaine. La boucle se boucle. C'est le début du week-end, Mari et là et lorsque je suis chanceuse, Petitoursbrun aussi.

Le vendredi, avant leur arrivé, la maison s'emplit de silence. Un silence qui ne se veut pas pesant. Comme si la maison prenait une pause avant la grande fiesta.

J'aime tellement le vendredi.

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