C'est exactement comment je me sens.
Je me sens avec cette épée au dessus de ma tête. Je me sens prise dans toutes les issues.
L'attente est interminable. J'ai beau me dire que dans tous les cas, le bonheur des principaux intéressés importe plus que ce que je pourrais ressentir. J'ai quand même cette crainte constante. Je déteste avoir tant besoin d'eux. Ça me rend vulnérable. Un genre de drogue, de couteau à double tranchant. On a besoin de ça, mais on peut facilement le perdre.
Un genre d'équilibre trop fragile.
Je dois attendre jusqu'au 3 décembre dans un cas et jusqu'à une date indéterminée dans l'autre. D'ici là, je n'ai pas de repos.
Je ne veux pas que vous partiez.
Je suis égoïste n'est-ce pas?
Je m'excuse.
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